Soudain, imprévisible, l’accident vasculaire cérébral (AVC) frappe un Français toutes les 4 minutes. Françoise Benon, présidente nationale de la Fédération France AVC, insiste sur l’importance des campagnes de prévention sur les symptômes de l’AVC et les principaux facteurs de risque. Cet entretien a été réalisé dans le cadre de la Journée Européenne de prévention de l’Accident Vasculaire Cérébral (AVC), qui a lieu le 14 mai 2016.
Une méconnaissance du grand public sur l’AVC
Le grand public n’a pas conscience que l’AVC est une urgence vitale. Il existe un rejet de cette maladie. Les gens ont peur et se voilent la face car cette maladie neurologique est grave, directe.
Dépister et traiter les facteurs de risque
Dans la majorité des cas, il est possible de prévenir l’AVC en dépistant et traitant les facteurs de risque. Le patient doit consulter son médecin pour prendre sa tension ou détecter une fibrillation atriale… Ainsi, nous pourrons réduire le risque d’AVC. Les personnes les plus à risque sont les personnes âgées de plus de 75 ans ; cependant, de plus en plus de jeunes et d’enfants de moins de 15 ans font un AVC.
Réduire les risques de survenue de l’AVC
Pour prévenir l’AVC, trois choses sont importantes : l’hygiène de vie, le suivi (dépistage) et si l’on a un signe d’AVC ou qu’un proche présente les symptômes, il faut vite appeler le 15. Cela doit être un réflexe. Il vaut mieux prévenir que guérir
Pour plus d’information, www.avcvitele15.com
En savoir plus, consulter les sites :
www.bayer.fr et www.pharmaceuticals.bayer.fr
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