C'est la nouvelle année et le traditionnel rituel des voeux approche. Il va donc vous falloir présenter vos voeux autour de vous, à des personnes qui vont être heureuses ou pas, tout comme vous d'ailleurs, et comme si cela ne suffisait pas, vous allez devoir fêter vos voeux de "bonne année" associés comme le veut la tradition française à des voeux de "bonne santé".
Vous pouvez être sûr que si vous souhaitez vos voeux en lançant un "bonne année", la personne en face de vous va immanquablement vous répliquer... "et surtout une bonne santé !". On peut se demander pourquoi la France est le seul pays à fêter à la fois "la bonne année et la bonne santé" de façon pour une fois parfaitement consensuelle, toutes générations confondues.
Pour le savoir, nous avons décidé, à l'agence Capital Image, agence de relations publiques et relations médias santé, de mener une étude IFOP/Capital Image sur le sujet, puis aussi de partir à la rencontre de pharmaciens, médecins, juristes, patients, communicants, et enfin, d'y réfléchir d'avantage avec le philosophe Pierre-Henry Tavoillot, président du Collège de philosophie à la Sorbonne.
Nous vous laissons découvrir jusqu'à la fin janvier le résultat de nos recherches et ne pouvons résister à la joie de vous souhaiter une "excellente année" et - comme vous pouvez vous en doutez - une "très bonne santé !".